Présentation de la radio
TOUTES LES DROITES, TOUS LES TALENTS !
UNE RADIO (VRAIMENT) LIBRE, AU SERVICE DE VOS IDÉES
En 1987, Jean Ferré, Serge de Beketch et quelques amis eurent l’idée folle de créer une radio totalement libre, qui défendrait la liberté d’expression et la civilisation françaises et qui ne vivrait que du soutien de ses auditeurs.
Pour citer Marcel Pagnol (et non Marc Twain), tout le monde savait que c’était impossible mais eux ne le savaient pas. Alors ils l’ont fait !
Radio Courtoisie fut la pionnière et la matrice des media alternatifs nés dans les décennies suivantes.
Radio « de toutes les droites et tous les talents, radio du pays réel et de la francophonie », Radio Courtoisie a vocation à défendre la langue, la culture et la civilisation françaises.
Notre radio a produit sa première émission en direct le 7 novembre 1987 et n’a plus jamais cessé d’occuper l’antenne, émettant 24 heures sur 24, tous les jours de l’année.
Radio Courtoisie est une radio associative qui ne dépend d’aucune puissance extérieure. Aucun financier, aucun annonceur, aucun parti politique ni aucune chapelle ne peut l’influencer.
Son existence repose sur le travail et l’engagement de 20 salariés, plus de cent bénévoles et quelques milliers d’auditeurs-militants dont la générosité nous permet de porter haut des idées et informations exclues des media commerciaux. La structure de Radio Courtoisie lui garantit une liberté absolue.
A notre antenne, les invités ont le temps de développer une pensée et des arguments loin des lieux communs expéditifs, des caricatures et des prises de parole soumises à la publicité. Radio Courtoisie ne vend pas du temps de cerveau disponible : elle offre au contraire un temps de réflexion pure.
Son indépendance permet à Radio Courtoisie de défendre des sujets et de donner la parole à ceux qui sont ostracisés des médias commerciaux.
Radio Courtoisie est la radio du pays réel. Elle a vocation à être un carrefour d’influences, d’idées, et le vaisseau amiral de la « réinformation » – terme passé dans le langage courant et qui fut précisément forgé à notre antenne.
Inscrite dans le temps long, riche de trésors d’archives représentant des milliers d’heures d’écoute, produisant chaque mois des dizaines de nouvelles émissions, Radio Courtoisie a vocation à transmettre l’héritage d’années de combat aux plus jeunes, qui auront la charge reprendre le flambeau pour faire vivre les valeurs qui sont les nôtres.
Elle doit aussi être le porte-voix d’une information alternative et toucher le grand public grâce à des émissions de qualité et une stratégie de communication efficace.
Outre les figures prestigieuses qui viennent s’y exprimer, notre radio est un incubateur pour les jeunes pousses qui y font leurs premiers pas avant d’occuper le devant de la scène : Sylvain Tesson, Geoffroy Lejeune, Gabrielle Cluzel, Charlotte d’Ornellas et d’autres encore, dont vous entendrez bientôt parler…
Radio Courtoisie a de nombreux atouts : deux studios dont elle est propriétaire ; une présence sur la bande FM ; un site Internet et des réseaux sociaux actifs ; une équipe de collaborateurs dévouée et motivée ; des auditeurs militants qui comprennent que leur soutien est la garantie de notre indépendance absolue.
Techniquement, Radio Courtoisie n’a pas de limites : elle bénéficie des mêmes outils que les radios commerciales. Il ne lui manque que les moyens. Elle ira donc aussi loin que ses finances et ses collaborateurs le lui permettront. Elle peut mourir demain, mais aussi devenir incontournable et influencer durablement l’opinion publique.
Pierre-Alexandre Bouclay, président de Radio Courtoisie
SON HISTOIRE : UNE EXTRAORDINAIRE AVENTURE
Radio Courtoisie a effectué sa première émission en direct le 7 novembre 1987.
Les ennemis de la liberté d’expression étaient ivres de rage. Vous souvient-il du tintamarre ? Des plaintes, un académicien inculpé de forfaiture, une succession de juges d’instruction, des réquisitoires supplétifs… pour aboutir à un non-lieu. Des campagnes de presse, des insultes, des menaces, des sabotages durant des années. Mais Radio Courtoisie persévère et grandit. Elle a déjà donné la parole à plus de douze mille personnalités très diverses [plus de quinze mille aujourd’hui, NDLR] dans des conditions exceptionnelles de liberté.
Quelles sont les raisons de ce succès ? Distinguons les raisons de structure, les raisons d’objectifs et les raisons de méthodes.
I – LA STRUCTURE
Radio Courtoisie est une radio associative qui ne vit que des cotisations de ses auditeurs. Elle ne dépend donc d’aucune puissance extérieure. Aucun financier, aucun annonceur, aucun parti politique ni aucune chapelle ne parvient à l’influencer quelles que soient les circonstances.
La structure de Radio Courtoisie lui garantit une liberté absolue.
II – LES OBJECTIFS
Ils ont été définis dès le premier dossier de candidature déposé en 1986 :
- respecter le droit à l’expression de toutes les familles de la droite française ;
- défendre et illustrer la Langue française.
Le slogan de Radio Courtoisie (jusqu’en février 2019) résume tout : « la radio libre du pays réel et de la francophonie ». Elle est donc ouverte à toutes les droites dans le domaine politique et à tous les talents dans le domaine culturel. D’ailleurs, en mars 2019, le slogan devient : « Toutes les droites, tous les talents ».
III – LES MÉTHODES
La liberté garantie par sa structure autorisant les audaces comme les banalités, et l’originalité des objectifs exigeant des novations méditées, les méthodes de Radio Courtoisie, pour les émissions parlées, sont évidemment atypiques.
Durée des émissions. Tandis qu’on raconte partout que « les auditeurs français d’aujourd’hui ne peuvent pas demeurer attentifs plus de quelques minutes », les trois émissions parlées quotidiennes de Radio Courtoisie [aujourd’hui quatre ou cinq, NDLR] durent respectivement une heure, une heure trente et… trois heures ! Il devient donc possible d’aller au fond des sujets. D’où l’obligation de sélectionner les participants parmi les fortes personnalités ayant réellement quelque chose à dire. D’où la nécessité de rediffuser chaque émission pour permettre aux auditeurs d’adopter l’horaire le plus commode ou de compléter les écoutes interrompues.
Direction des émissions. A Radio Courtoisie, nul ne dirige plus d’une émission par semaine. Ceux que nous appelons les « patrons d’émission » disposent ainsi du temps suffisant pour élaborer chaque prestation. Ils bénéficient d’une totale liberté pour décider de leurs sujets et de leurs invités.
Interventions des auditeurs. N’importe qui peut intervenir durant les émissions, par messages téléphonés ou par télécopies. Compte tenu de la qualité des auditeurs, ces interventions ont une grande importance. Elles sont variées : informations, témoignages, questions, parfois… rectifications d’erreurs. Les contradicteurs courtois ont toujours la parole.
Archives. Toutes les émissions sont conservées en archives, depuis le premier jour, et sont adressées à qui les demande. Chaque soir, à 20:57, est lue l’annonce du programme des rediffusions de la nuit établi à partir des émissions de la journée avec la liste des participants et l’indication des sujets traités. Depuis 1995, nous récapitulons ces « annonces de 20:57 » : garantie de la transparence et protection de la mémoire par la mise à la disposition de tous d’un gisement considérable d’archives originales.
La place manque dans cet opuscule pour décrire la politique de Radio Courtoisie dans le domaine musical.
Deux précisions seulement :
- nous ne diffusons que de la musique classique ;
- nous annonçons toujours la référence complète de chaque disque, à la fois pour fournir une information discographique permanente et pour assurer, gracieusement, la promotion des œuvres que nous avons choisies parce que nous les aimons.
Pourquoi l’extraordinaire aventure de Radio Courtoisie a-t-elle subsisté depuis plus de dix-sept ans avec l’exclusif financement des cotisations spontanées de ses auditeurs et pourquoi progresse-t-elle ?
Parce qu’il existe des auditeurs de qualité pour apprécier la formule rigoureuse de notre radio et parce que sa fécondité se vérifie chaque jour.
Déjà, Maurice Barrès l’avait affirmé : « C’est à l’intérieur du défini qu’on trouve l’inépuisable. »
Jean Ferré